On te donne les clés
pour mieux comprendre
l’immigration et l’antiracisme
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Pour continuer à produire des contenus gratuits, accessibles et de qualité, on a besoin de vous.
Aujourd’hui, Komune, c’est des vidéos pédagogiques, une newsletter hebdomadaire, des documentaires, des formations, des événements…
Avec nos moyens actuels, chaque capsule vidéo demande plus d’une journée de travail. Un article de newsletter, c’est près d’une semaine. Un épisode documentaire, c’est presque deux mois.
Et aujourd’hui, nos ressources nous obligent à limiter nos ambitions.
Et ce n’est qu’un début : on veut produire des documentaires, ouvrir nos contenus à davantage de voix, organiser des temps d’échange, et renforcer notre équipe en embauchant.
Pour franchir cette étape, on a besoin de vous.

Vos dons, pour quoi faire ?
🎯 500 € / mois
On consolide la base.
On continue à produire nos contenus pédagogiques, on couvre nos frais fixes et on garde l’équilibre pour avancer sereinement.
🎯 2 000 € / mois
On lance les reportages terrain.
Avec ça, on peut produire 1 reportage par mois.
Aller documenter des initiatives locales, des parcours de vie, des politiques publiques concrètes.
📌 Par exemple :
– À Villeurbanne, des logements pour femmes isolées avec enfants, victimes de violences
– À Paris, immersion dans les bains-douches qui accueillent des centaines de personnes chaque jour
– En Méditerranée, à bord du navire de sauvetage Ocean Viking
🎯 3 000 € / mois
On se professionnalise.
On passe à 2 reportages par mois, on peut envisager une embauche, et surtout, se consacrer à 100 % à Komune.

Bienvenue sur Komune média
On crée des contenus pour mieux comprendre l’immigration, l’antiracisme… et bientôt d’autres sujets de société !
Parce qu’aujourd’hui, ces sujets sont partout : dans les médias, les discours politiques, les conversations de tous les jours.
Et parce que, dans un monde qui change vite, où les inégalités se creusent et où le racisme progresse, il devient essentiel que chacun puisse y voir plus clair.
À Komune, on remet les faits au centre.
On donne la parole aux personnes concernées.
Et on propose des clés pour mieux comprendre, au-delà des clichés.

Un média qui grandit avec vous
Vous êtes plus de 45 000 à regarder nos vidéos, lire nos articles, partager nos formats. Grâce à vous, Komune prend de l’ampleur, jour après jour.
En un an, on a publié plus de 180 contenus, invité une quarantaine de témoins et d’experts, et vous êtes plus de 25 000 nouveaux abonné.s.
Merci d’être là.
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TikTok : 11 000 abonné·e·s
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Les contenus qui vous ont
le plus marqué cette année




“Comment réagir face à une blague raciste ?” avec Estelle Depris
”La peur elle est des deux côtés”
un témoignage de Thomas,
réfugié et bénévole au HCR
Notre équipe
et notre fonctionnement
Jeannette Marié - fondatrice
J’ai grandi dans une ferme en Picardie, loin des débats sur l’immigration et loin de la diversité.
À force de rencontres, d’études et de prises de conscience, j’ai lancé Komune pour démonter les clichés et rendre accessibles les faits qu’on n’entend jamais à la télé.

Anna Jégo - co-présidente
J’ai grandi à Rennes dans un environnement privilégié, loin des réalités de l’immigration et du racisme. Après un détour par la tech, j’ai rejoint Komune pour donner au grand public les clés de compréhension que j'aurais aimé avoir.
Une équipe élargie concernée
Depuis le lancement, la majorité des stagiaires, freelances, collaborateur·ices, intervenant·es et personnes interviewées sont directement concerné·es par les sujets que nous traitons.



On s'appuie sur
un réseau informel de personnes concernées qui nous aident à repérer nos angles morts, affiner nos formulations
et cultiver une vigilance sur nos propres représentations.
Ce qu'on veut poser clairement
Komune est un média fondé et porté aujourd’hui par deux femmes blanches.
On est conscientes que cela a un impact : dans l’espace public,
certaines paroles portées par des personnes blanches sont plus écoutées que celles des personnes directement concernées.
On ne prétend pas échapper à cette réalité.
Mais on refuse de s’y résigner — et on choisit d’en faire un levier de responsabilisation plutôt qu’un privilège passif.
On travaille à faire de la place, à partager la parole, et à construire
des formats qui ne parlent pas à la place, mais qui redonnent du poids
à ce qui est trop souvent ignoré.
C’est un travail qu’on mène avec humilité, et qu’on considère
comme une responsabilité continue, pas comme un acquis.
